Grand Prix de l'Escaut, David Dekker : "cela peut être bordures et sprint"
Le Grand Prix de l’Escaut, ou Scheldeprijs en néerlandais, est une épreuve qui « parle » à David Dekker, lequel connaît bien les routes sur laquelle cette compétition va se dérouler, car elle lui évoque des souvenirs de jeunesse.
« J’espère que ce sera une vraie course de bordures comme lors des éditions précédentes. J’ai toujours vu un tel scénario lorsque je regardais cette compétition à la télévision. Je souhaite qu’il en aille de même cette saison. C’est une épreuve qui me plaît. La seule compétition professionnelle qui passait devant chez moi lorsque j’avais 10-15 ans. Le parcours a un peu changé cette année mais l’arrivée demeure à l’identique. Le Grand Prix de l’Escaut, ou Scheldeprijs, se déroule désormais davantage sur les routes où je m’entraînais lorsque j’étais jeune coureur cycliste. C’est une épreuve qui peut être bien pour nous avec cette double possibilité : bordures et sprint. Et si le vent ne se lève pas, nous aurons d’autres options qui pourront être mises en place ».
« Le Grand Prix de l’Escaut, ou Scheldeprijs. est soumis aux conditions météos comme toutes les épreuves disputées dans le nord de l’Europe à cette période de l’année. La météo est très souvent déterminante. Si on se réfère à l’édition 2022, elle avait fait la sélection avec des coureurs placés qui avaient concédé des écarts assez importants par rapport aux tout premiers. Nous disposerons en tout cas d’un collectif capable de répondre présent sur cette course qui est traditionnellement l’ultime rendez-vous avant Paris-Roubaix »