






Kevin aime tout ! la moyenne et la haute montagne, les pavés, les bordures. En 2015, pour sa première année chez les professionnels, il devient champion du monde Espoirs à Richmond. En 2016, il continue de travailler dur et obtient son premier podium en Coupe de France sur la Classic Loire Atlantique. Mais coup d’arrêt en février 2017, Kevin tombe en Italie et se fracture le fémur. Après plusieurs semaines de rééducation, Kevin se remet en selle et obtient de bons résultats sur des étapes du Tour de l’Ain et de la Route du Sud. Il décroche une belle sixième place au championnat de France, et portera le maillot tricolore pour les championnats d’Europe au Danemark.
La belle histoire se poursuit cette été avec l’arrivée de son père, Yvon Ledanois, comme directeur sportif. Mais l’ancien DS de BMC a été très clair « aucun traitement de faveur, je serai certainement encore plus exigeant avec Kevin. »
Mon père indirectement. Sa carrière m’a donné envie d’essayer donc, je m’y suis par curiosité et… je ne m’en passe plus.
Un Eddy Merckx, celui de mon père avec lequel il a gagné sa plus belle victoire, au sommet de la Sierra Nevada en 1997 dans la Vuelta.
Mon premier podium en tant que professionnel.
Je ne sais pas…
Tout ! Je fais ce que j’aime, ce que j’ai toujours voulu faire, et en plus je voyage !
À ne jamais baisser les bras, à me découvrir une vraie force mentale.
Le Tour !
Toujours pas de surnom…
J’en ai beaucoup. Je pense surtout à ceux de ma génération, avec qui j’ai partagé les deux derniers championnats du monde Espoirs.
J’aurais poursuivi mes études pour bosser dans l’immobilier sans doute.
Je suis fan de sport: foot, course à pied, golf… J’aime les soirée entre copains aussi.
J’écoute de tout, surtout du Deep House.
FIFA16 et Un lion ne meurt jamais, de Djibril Cissé.
Dikkenek ! Non, je n’en ai pas, j’apprécie autant les thrillers, les films d’action, les comédies.
Bonne question…
Poulet au curry ou une bonne pizza chèvre-miel !
Une Mercedes Classe G55 AMG.
Quand j’aurais décidé que ce sera le cas. Je ne me fixe aucune limite.
Une terre de vélo. C’est là que j’ai commencé à gagner, chez les juniors, devant beaucoup de spectateurs.
La surfeuse et mannequin américaine Alana Blanchard… Mais surtout respect à ce qu’accomplit Pauline Ferrant-Prévot dans le cyclisme.