Laurent Pichon : « La Roue Tourangelle, un final en bosses »
Manche de la Coupe de France, dont notre équipe occupe de belles positions, 2ème au classement individuel, 3ème au classement jeunes, et encore 2èmepar équipes, emprunte dans son final les difficultés de Paris-Tours.
Photo Fred Machabert
Avant-course
« La Roue Tourangelle, je l’ai découverte seulement l’an passé, mais je connais depuis quelques années toutes les bosses qui sont empruntées lors du final, car il ressemble à celui de Paris-Tours. La course se décante souvent à ce moment-là, c’est à cet endroit généralement que les puncheurs tentent de faire le break. Nous aurons des coureurs de cette qualité au départ, mais aussi la carte de Nacer en cas d’arrivée au sprint. Notre sprinteur est en très bonne forme comme il l’a démontré encore cette semaine sur les routes de Brugge-La Panne ».
Le débrief’
« Sur la roue Tourangelle avec Nacer au sein de notre effectif, nous nourrissons forcément des ambitions pour aller gagner. Mais attention, toutefois, car il y a pas mal de de difficultés référencées dans le final , des bosses que l’on retrouve sur Paris-Tours, notamment la côte de l’Épan. La fin de course engendre donc souvent une course de mouvement, car sur la dernière partie cela monte et descend, et donc ce n’est pas toujours facile à contrôler pour les formations de sprinteurs. Il y a en tout cas une réelle possibilité de décrocher un bon résultat ».